top of page

IRDED - À PROPOS

Organisation historique

L’Institut de Recherche sur la Démocratie et l’État de Droit (IRDED) a été fondé en janvier 2007. L’IRDED est un Institut de recherche et d’éducation indyépendant, à but non lucratif et apolitique qui fait la promotion des principes démocratiques, agit pour l’établissement d’une société libre, œuvre pour la consolidation de l’état de droit en Afrique, et plus particulièrement en Guinée. L’IRDED est basée en Guinée.

 

Mission
La mission de l’IRDED est de promouvoir une société démocratique, le respect des principes des droits de l’homme et l’état de droit en assistant le gouvernement au niveau de la formulation des politiques viables et en mobilisant la société civile pour la consolidation du processus démocratique.

​

Pour ce faire, l’IRDED a pour but de promouvoir tout le processus d’élaboration des règles de politique démocratique, suggérer des politiques de développement et des moyens d’exécution efficaces en se posant des questions et en y apportant des réponses claires. L’IRDED contribue à la détermination d’une politique stratégique adéquate concernant tout le mécanisme d’exécution des politiques, la compréhension des questions de société et la mobilisation des groupes d’intérêt concernant un domaine déterminé. L’IRDED est impliqué dans tous les processus et questions admis dans la notion d’éducation politique.

​

Activités
L’IRDED est impliqué dans :

  1. Le renforcement du système judiciaire à travers la formation des magistrats et le soutien des organisations non gouvernementales (ONG) qui travaillent dans le domaine des droits de l’homme afin de consolider l’état de droit ;

  2. L’assistance technique aux agences gouvernementales qui s’occupent de la lutte contre la corruption et des études relatives aux reformes politiques qui entraînent une participation inclusive de toute la population dans le processus démocratique ainsi que le renforcement du leadership des membres élus de l’assemblée nationale et les officiels de la branche exécutive
  3. Le conseil des politiques relatives à la liberté d’expression et l’accès à l’information ;

  4. La recherche juridiques des solutions qui peuvent permettre à la population la plus démunie de se faire entendre dans la prise des décisions politiques, économiques, culturelles, etc. ;

  5. La publication des études qui améliorent le rôle des avocats et juges en garantissant ainsi le principe de débats contradictoires des procédures judiciaires afin de protéger les droits de l’homme et le respect du délai raisonnable des services juridiques.

bottom of page